macbridei : en l’honneur de James Francis Macbride (1892-1976), botaniste américain, spécialiste de la flore péruvienne.
macdougallii : en l’honneur Thomas Baillie MacDougall (1895-1975) un botaniste né écossais, naturalisé américain, puis mexicain, il explore tout l’Oaxaca. macrantha : du grec ancien makrón, grand et ánthos, fleur ; à grandes fleurs. macraxina : du grec ancien makros, long, grand et axina, oursin ; pour les longues épines centrales. macroacantha : du grec ancien makros, long et akantha, épine ; aux longues épines. macrocephala : du grec ancien makros, long, grand et képhalos, tête : qui à une grande tête. macrochele : du grec ancien makros, long et khele (chele), pince, patte crochue, griffe. macroclada : du grec ancien makros, long, grand et klados, rameaux branche. madagascariensis : pour son origine de Madagascar. madisoniorum : en l’honneur de l’avocat américain Marshall P. Madison (1895) et de son épouse Elena Eyre Madison. magnifica : du latin magnificus, magnifique. Maihuenia : du nom vernaculaire de l’espèce type, le maihuén Maihueniopsis : du grec ancien opsis, apparent, ressemble et Maihuenia ; qui ressemble au Maihuenia. maiz-tablasensis : pour les villes de Maiz et Las Tablas, état de San Luis Potosi au Mexique, entre lesquelles le Coryphanta a été découvert. Mammillaria : du latin mamilla, mamelle, sein, en référence à l'aspect des tubercules. mamilosus : du latin mamilla, mamelle, sein ; pour l’aspect de la plante. marginata : du latin margino(atum), bordé, entouré d’un bordure. mariposensis : pour la localité type : au nord-ouest des crêtes calcaires de Terlingua, au sud-ouest de Mariposa au Texas. marlothii : en l’honneur d'Hermann Rudolf Marloth (1855-1911) botaniste, pharmacien et chimiste allemand et sud-africain. marmorata : du latin marmor, marbre ; pour décrire les feuilles marbrées. maromokotrensis : pour la localité Maromokotra, située dans le nord Madagascar où pousse cette plante. marotsipoyana :pour la localité de Marotsipoy dans la région d’Analamanga au centre de Madagascar où pousse cette plante. mascaense : pour le nom du Barranco de Masca à Tenerife (Canaries), où il a été découvert. Matanzanus : pour la province de Matanza à Cuba, habitat du Melocactus. mataranus : pour le district de Matara, dans la province de Cajamarca, au nord-ouest du Pérou. Matucana : pour le village de Matucana au Pérou. matucanensis : pour la localité de Matucana au Pérou où pousse l’espèce. matudae: en l'honneur du botaniste mexicain d'origine japonaise Eizi Matuda (1894-1978). maura : de maure, pour son origine marocaine. maximiiliana : du latin maximus, le plus grand. mazatlanensis : pour la ville de Mazatlán au Mexique, où il a été découvert. meiacantha : du grec ancien meion, moins, plus petit et akantha, épine ; qui à moins d’épines. melanostele : du grec ancien melas, ou melanos, noir, sombre et stēlē, stèle, colonne. Melocactus : du latin melonis, melon et cactus, káktos en grec ancien. meridionale : pour l’origine de la plante, au sud de l’île de Tenerife (Canaries). mesembryanthemoides : du grec ancien eidos, vu, ressemble ; qui ressemble à un mesembryanthemum. mesembryanthemum : du grec ancien mesembria, midi, mi-journée et anthemon, fleur. Microcycas : du grec ancien mikros, petit et Cycas ; un petit Cycas. microdasys : du grec ancien mikros, petit et dasus, poilu, velu ; pour la multitude de glochides. micromeris : du grec ancien mikros, petit et meris, partie ; pour la petite taille de la plante. microsperma : du grec ancien mikros, petit et sperma, semence, graine ; aux petites graines. microthele : du grec ancien mikros, petit et thelé, mamelon. Mila : anagramme syllabique de Lima, la capitale du Pérou. milii : en l’honneur du baron Pierre-Bernard Milius (1773-1829), gourverneur de l’île de la Réunion (île Bourbon) de 1818 à 1821). mirabilis : du latin mirabilis, étonnant, merveilleux, admirable. miniata : du latin miniatus, enduit de rouge. minima : du latin minimus, minime. minimus : du latin minimus, minime. minutum : du latin minutus, petit, menu. mocamedensis : pour la localité de Moçâmedes, province de Namibe, au sud-ouest de l’Angola. moelleriana : en l’honneur d’Heinrich Môller (Moeller) (1882-1945) médecin et botaniste chercheur de cactus d’origine germano-mexicaine. mojavensis : pour le désert des Mojaves (Californie, U.S.A) là où il pousse. moniliformis : du latin monile, collier et forma, forme ; en forme de collier. montagnacii : en l’honneur de R. Montagnac, un botaniste français. Rauh à honoré celui qui fut le premier à introduire Alluaudia montagncii en Europe au jardin « Les Cèdres » de Saint Jean Cap Ferrat. montana : pour l’état du Montana, aux Etats-Unis, où pousse cet Agave. monteiroi (Euphorbia) : en l’honneur de Joachim John Monteiro (1833-1878), ingénieur minéraliste et naturaliste portugais. Il herborisa au Mozambique, en Angola et en Afrique-du-Sud. monteiroi (Aloe) : en l’honneur de Rose Monteiro née Bassett (1840-1897), épouse de Joachim J. Monteiro qui a collecté cette plante. Monvillea : en l’honneur du baron Hippolyte Boissel de Monville (1794-1863), industriel et collectionneur de plantes français. mossamedense : pour la localité de Moçâmedes, province de Namibe, au sud-ouest de l’Angola. mostii : en l’honneur de Carlos Most, de Cordoue en Argentine. Muehlenbergia : en l’honneur de Heinrich Ernest Muhlenberg (1753-1815), pasteur luthérien et botaniste amateur américain. Muehlenpfordtii : en l’honneur de Philipp August Friedrich Mühlenpfordt (1803-1891) qui était un botaniste allemand. multiareolata : du latin multus, nombreux, plusieurs et areola, petite surface, aréole ; qui a de nombreuses aréoles. multicostatus : du latin multus, plusieurs, nombreux et costatus, côtes, parois. mutabilis : du latin mutabilis, inconstant, variable, changeant. myriostigma : du grec ancien myria, nombreux innombrable et stigma, taches ; pour les nombreuses taches sur l’épiderme. mystax : du latin mystax, moustache ; pour la laine blanche entre les tubercules. Myrtillocactus : du mot myrtille pour l’apparence des fruits semblables à des myrtilles. |
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