Pachycereus : du grec ancien pakhús, épais et cereus, cierge, chandelle.
Pachycormus : du grec ancien pakhús, épais et kormós tronc. C’est aussi un genre éteint de poisson du jurassique inférieur.
Pachypodium: du grec ancien pakhús, épais et podos, pied, en référence au tronc épais en forme de bouteille de certaines espèces.
paleacea : du latin palea, paille. Palacée terme de botanique : qui est de la nature de la paille, sec, mince, coriace.
palida : du latin pallidus, pâle, blême, jaunâtre ; pour la couleur du fruit.
palmense : pour l'île de La Palma (Canaries), où cette espèce a été découverte pour la première fois.
palmeri : en l’honneur d’Edward Palmer 1831-1911), collecteur et botaniste anglais émigré aux U.S en 1849. Il a surtout exploré le sud des
Etats-Unis et le Mexique.
palmiformis : qui à la forme d’un palmier. Ce dit, d’après Candolle, des feuilles qui sont disposées de manière à imiter les feuilles palmées.
papillosus : du latin papilla, mamelle, sein ; pour les tubercules des côtes.
papyracea : du latin papyrus, papyraceus, qui la constance du papyrus.
parallelifolia : du latin parallelus, parallèle et folium, feuille ; pour la disposition parallèle des feuilles.
parkonsonii : en l’honneur du britannique John Parkinson (1775-1847) consul général de Mexico 1838-1840). Collecteur et minéralogiste, il était ami avec G. Ehrenberg.
Parodia : en l’honneur de Lorenzo Raimundo Parodi (1895-1966), un botaniste argentin ayant étudié la flore du Paraguay.
parrasana : pour la localité de Parras, état de Coahuila au Mexique, dans les environs de laquelle fut collecté l’Agave parrasana.
parryi : en l’honneur du botaniste américain le Dr Charles C. Parry (1823-1890).
parviflora : du latin parvus, petit, court, bref, de peu d’importance et florus, fleur.

parviflorus : idem.
parvula : du latin parvulus, très petit.
pasacana : pour son nom vernaculaire qui est aussi le nom du fruit de l’espèce, le pasacana.
paucicostata : du latin pauci, peu nombreux et costatus, qui a de bonnes côtes.
Pediocactus : du grec ancien pedion, champ, plaine et Cactus ; le Cactus des plaines.
Pelecyphora : du grec ancien pelekys, hache, hachette et phoros, porter.
pecten-aboriginum : du latin pecten, peigne et aboriginum, indigène, premiers habitants ; peigne des indigènes.
pectinatus : du latin pectinatus, peigné.
pectinifera : latin pecten peigne et fēro, porter, apporter.
Pelecyphora : du grec ancien pélekys, hache, hachette et phoros, porter ; pour les tubercules en forme de hache.
Peniocereus : du latin penis, queue d'animal et cereus, cierge, chandelle.
Penstemon : du grec ancien pénte, cinq et stémon, stamen étamine ; à cinq étamines.
pentalophus : de grec ancien pénte, cinq et lophé, crête, colline.
percarneum : du latin per, très et carneum, chair ; pour la teinte rougeâtre des feuilles.
Pereskia : en l’honneur de Nicolas-Claude Fabri de Peiresc (1580-1637), un astronome français.
perezassoi : en l’honneur de A. Perez Asso, un naturaliste cubain du Museo Nacional de Historia Natural, La Habana, Cuba. Il a été le premier à collection ce Melocactus.
perrieri : en l’honneur de Henri Perrier de La Bâthie (1873-1958). Il a étudié la flore de Madagascar et a fait plusieurs publications sur cette flore.
peruvianus : pour Pérou, où pousse l’espèce.
peyrierasii : en l’honneur d’André Peyrieras (1927-2018), entomologiste, herpétologue français installé à Madagascar et collectionneur de plantes malgaches.
pflanzii : en l’honneur de Karl Pflanz (1872-1925), il collectait en Argentine et Bolivie où il a trouvé le Gymnocalicium pflanzii.
phaeacantha : du grec ancien phaios, sombre, mat, terne et akantha, épine, piquant ; pour la couleur sombre des grandes épines.
phosphorea : du grec ancien phosphoros, qui apporte la lumière. Certaine parties d’Euphorbia phosphorea produisent une bioluminescence aux extrémités, ce phénomène serait dû à un champignon parasite dans la sève.
phyllacanthus : du grec ancien phyllon, feuille et akantha, épine.
pilcayensis : pour le barranco de Pilcaya au Mexique où l’espèce a été découverte.
pillansii : en l’honneur de Neville Stuart Pillans (1884-1964), botaniste sud-africain.
pilleifera : du latin pileus ou pilleum, bonnet de feutre qui coiffait les esclaves romains affranchis et ferre, porter.
Pilosocereus : du latin pilosus, poilu, velu, couvert de poils et cereus cierge, bougie.
pilosus : du latin pilosus, couvert de poils, poilu, velu.
plagiostoma : du grec ancien plágos, côté, flanc et stoma, bouche ; qui à la bouche (fleur) de côté.
platyacanthus : du grec ancien platys, plat, large et akantha, épine,
Plectranthus : du grec ancien pléktron, pointe, éperon et anthos, fleur ; pour l’éperon sur la fleur de certaines espèces.
plicatilis : du latin plicatilis, souple, pliable, flexible pour l'effet produit par la disposition des feuilles.
pluridens : du latin plures, plus de, plusieurs et dens, dent ; à plusieurs dents.
podocarpifolia : du grec ancien podos, pied et karpos, fruit, puis folia, feuille ; pour les fruits au pied de la feuille.
Polaskia : en l’honneur de Charles Polaski (1896-1986), botaniste amateur américain d’Oklahoma City.
polyacantha : du grec ancien polùs, beaucoup, nombreux et akantha, épine ; aux nombreuses épines.
polygonus : du grec ancien polùs, beaucoup, plusieurs et gônia, angles ; aux nombreux angles (côtes).
polylopha : du grec ancien polùs, beaucoup, nombreux et lophos, crête ; à nombreuses crêtes, pour les côtes aiguillonnées.
polythele : du grec ancien polùs, beaucoup, nombreux et thele, mamelon.
Portulaca : du latin portula, petite porte, guichet ; pour la capsule qui s’ouvre comme une boîte.
potatorum : du latin potator, ivrogne, des buveurs, faisant peut-être référence au fait que les habitants fabriquent du mescal à partir de la plante.
pottsii : en l’honneur de John Potts ( ?-1922) ingénieur des mines américain, il envoya ce Mammillaria en Europe.
poselgeri : en l’honneur du botaniste allemand Heinrich Poselger (1818-1883). Il avait décrit cette espèce sous le nom de Cereus tuberosus.
pretoriensis : pour la ville de Pretoria en Afrique-du-Sud ; l’Aloe pretoriensis à une aire de répartition beaucoup plus large que la région de Pretoria.
primigena : du latin primgenus,a,um, le premier, celui qui précède les autres.
principis : du latin principis, prince. Pour Maximilien, 3e duc de Leuchtenberg et prince d’Eichstätt (voir Leuchtenbergia).
pringlei: en l'honneur du botaniste et collecteur américain Cyrus G. Pringle (1838-1911).
procerus : du latin procerus,a,um, long allongé, élancé, élevé.
procumbens : du latin procumbens, être couché, prostré.
promontorii : du latin promontorium, promontoire, petit montagne.
prolifera : du latin proles, rejeton (de plantes), fruits et ferra, porter, produire.
pronkii : nommé pour Olaf Pronk (…-2017) un pépiniériste malgache. Son intérêt pour les plantes était surtout pécunier.
pruinosus,a : du latin pruinosus(a), couvert de gelée blanche ou de givre, glacé, pruineux. Pruine: production épidermique cireuse, labile, de couleur glauque..
pseudoechinus : du grec ancien pseudès, faux, erroné et ekhinos, echinus en latin, oursin, hérisson.
pseudohalbingeri : du grec ancien pseudès, faux, erroné ; pour la similitude avec Mammillaria halbingeri (voir halbingeri).
pseudomacrochele : du grec ancien pseudès, faux erroné ; pour la similitude avec Turbinicarpus schmiedickeanu ssp. macrochele, (voir macrochele).
pseudomelanostele : du grec ancien pseudos, faux et melanostele.
pseudopectinatus : du grec ancien pseudès, faux, erroné et du latin pectinatus, peigné.
pseudourbicum : du grec ancien pseudès, faux, erroné ; pour la similitude avec Aeonium. urbicum.
Pterodiscus :
du grec ancien ptero, ailé et du latin discus, disque ; disque ailé, pour le fruit aplati qui porte des ailes.
pubescens : du latin pubescens, couvert de poils.
pugionifera : du latin pugio,onis, poignard, dague et fera, porter.
pulchellus : du latin pulcher, avec le suffixe diminutif –ellus, beau, joli, charmant.
purpureus,a : du latin pupureus, pourpre, vermeille, rouge…
purpusii : idem
Puya : proviendrai du persan qui signifie dynamique, en mouvement.