echinatus : du latin echinus, hérisson, oursin ; comme un hérisson.
Echinocactus : du latin echinus, hérisson, oursin et cactus pour l'apparence caractéristique des plantes.
Echinocereus : du latin echinus, hérisson, oursin, pour les fruits généralement très épineux et cereus : en forme de cierge, pour le port général.
Echinomastus : du latin echinus, hérisson et mastos, poitrine, sein ; pour la forme de la plante.
echinoides : du latin echinus, heidos, ressemble ; ressemble à un hérisson.
Echinopsis : du grec ancien echinos, hérisson et opsis, ressemblant ; qui ressemble à un hérisson.
echinus : du latin echinus, hérisson, oursin.
Echium : du latin echios, qui vient du grec ekhios, vipérine ; selon Dioscoride pour la ressemblance des fruits avec la tête de vipère, où que la forme des fleurs rappelle les mâchoires de vipère.
egregia : du latin egregis(a,um), de choix, excellent, distingué.
elata : du latin elatus(a,um), haut, élevé.
ellemeetiana : pour la collection Ellemeet (Pays-Bas) où la plante décrite par Jacobi en 1865 était en collection. Elle ne fut retrouvé dans la nature au Mexique qu’en 2000.
emilienneae : en l’honneur d’Hélène Emilienne Rebmann, mère de Norbert Rebmann.
emoryi : en l’honneur de l’ingénieur américain, le général de division William Hensley Emory (1811-1887), directeur de l’inspection des frontières mexicaines.
emskoetteriana : en l’honneur de Robert Emskötter, horticulteur allemand de Magdebourg qui a élevé les spécimens sur lesquels Quehl a basé sa description.
engelmannii : en l’honneur de George Engelmann (1809-1884) médecin et botaniste d'origine allemande, il a émigré aux États-Unis en 1832,
enneacanthus : du grec ancien ennea, neuf fois et akantha, épine ; aux neuf épines.
Epiphyllum : du grec ancien epi, sur, au-dessus et phyllon, feuille ; pour les fleurs qui poussent sur les feuilles. Ce ne sont pas des feuilles mais des tiges aplaties (phylloclades).
Epithelantha : du grec ancien epi, au-dessus, thele, mamelon et anthos fleur ; la fleur au-dessus du corps de la plante.
erecta : du latin erectus, érigé ; pour l’aspect de la plante.
erectocentrus : du latin erectus, érigé et centrum, centre ; pour l’aiguille centrale dressée.
erectoclada : du latin erectus, érigé, doit, hautain et du grec ancien klados, rameaux, branches.
erinacea : du latin erinaceus, hérisson, porc-épic.
erinaceus : idem
eriophora : du grec ancien erion, laine et phoréo, porter ; avec un manteau laineux.
Eriospermum : du grec erion, laine et sperma, graine ; pour les graines poilues, (ériospermes).
Eriosyce : du grec ancien erion, laine et syke, figue ; à fruit laineux.
Erythrina : du grec ancien erythros, rouge ; pour les fleurs rouges du genre.
erythrocucculata : du grec ancien eythros, rouge et cuccula, koukoula, capuche.
Escobaria : en hommage aux frères Rómulo Escobar Zerman (1872-1946) et Numa Pompilio Escobar Zerman (1874-1949) deux agronomes mexicains.
escobarii : en l’honneur du docteur Luis Carlos Escobar Pinzón.
Escontrilla : en l’honneur de Blas de la Candelaria Escontría Ruiz de Bustamante (1847-1906), homme politique et ingénieur mexicain, gouverneur de San Luis Potosi de 1895 à 1902.
Espotoa : en l’honneur de Nicolas E. Esposito (1877-1942) botaniste péruvien de l’Ecole Nationale d'Agriculture de Lima
Eulychnia : du grec ancien eu, bien, bon et lúkhnos, torche, lampe, lampadaire ; pour son aspect de belle torche.
Euphorbia : selon Pline l’Ancien proviendrait d’euphorbium, le nom donné par le roi et érudit Juba II de Maurétanie (actuel nord du Maroc), en l'honneur de son médecin grec Euphorbus.
euphorbioides : du grec ancien eidos, ressemble et euphorbe ; qui ressemble à une euphorbe.
europaea : pour l’Europe, bien que l’Apteranthes europaea ne soit pas fréquent en Europe mais plus courant en Afrique du nord.
evae : en l’honneur d’Eva Visyovszky, épouse de Mészáros, l’auteur, elle-même microbiologiste.
excelsa : du latin excelse, haut, élevé.
eximia : du latin eximia, exceptionnel, à part.